dimanche 16 novembre 2014

BOTTER L'CUL DU DOUTE DÉRAISONNABLE

Sacré doute. Tu t’amuses au moins ?

Je te le souhaite. Parce que de notre côté, c’est plutôt le contraire. On peut dire que tu nous en fais voir de toutes les couleurs, ça, y a pas de…..d’incertitude.

Chacun son rôle, tu me diras. Peut-être, mais, entre semer la zizanie dans la tête des gens et leur redonner confiance, j’ai choisi mon camp.

M’enfin. Tu n’en as probablement rien à foutre. Quand bien même je chercherais à te faire entendre raison, je sais bien que tu vas continuer tes méfaits en toute impunité. Je sais bien que tu te riras de nous encore et pour toujours.

Un seul conseil. Ne t’approche pas trop, t’as assez fait de dégâts comme ça !

Si je pogne à rôder dans les parages, je vais te faire ta fête. Je t’assure d’une raclée que tu n’oublieras pas de sitôt.

Si je te vois essayer de t’incruster dans la vie d’un être cher, d’un proche, je te roule en boule et je te botte le cul à t’expulser de la stratosphère.

Et, y a pas de doute, doute, tu vas t’ennuyer de ta mère.

La mère de tous nos maux.

Jean-Luc Jolivet

P.S. Évidemment, je sais que le doute peut aussi être un moteur, un tremplin, un outil de savoir etc. Le doute dont je parle, c'est celui qui est plutôt sournois, mesquin et qui cherche à nous faire sombrer dans la déprime en s'attaquant à notre estime.

dimanche 9 novembre 2014

LUMIÈRE


Besoin de blanc, de clarté, de netteté.
Besoin d’éteindre le vacarme que font les ténèbres.
Où te caches-tu lueur ?
Oui, où te trouves-tu, toi, mon effilochée de la dernière pluie, ma ridicule éphémère?
Ne remarques-tu pas la profondeur de nos blessures.
Besoin de blanc, de limpidité, de pureté.
Le monde a besoin de ta médecine, Lumière.
Et ce, plus que jamais.


Jean-Luc Jolivet