Lorsque l’ennui me prend à la gorge, lorsqu’il me clou sur place sans espoir d’un nouveau soleil.
Lorsque mon âme est pareille à un champ sec que le feu regarde d’un œil ravageur.
Il est peut-être temps, il est peut-être l’heure, de m’extirper de cet état de langueur.
Il me faut me remettre en mouvement.
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