samedi 6 avril 2013

À Frédéric (1918-1983)

Trente neuf ans déjà que ta vie a pris une autre forme. Trente neuf ans que ta présence nous manque.

Mais le temps n'effacera jamais les merveilleux souvenirs que nous avons de toi.

Ta rassurante sagesse, tes yeux d'une douceur indicible, ton rire communicatif sont à jamais inscrits en nous.

Cette pensée pour toi ce matin cher Papou, ta mémoire est, et sera, à jamais vivante. Camille peut en témoigner.

Ce matin, dans la lumière de ma cuisine, dans la blancheur de ma cours, je te sais toujours là.

Affectueusement,

Ton petit-fils Jean-Luc

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